• Synopsis Allociné : Le monde bascule dans une ère sombre lorsque l'électricité cesse soudainement de fonctionner. Sans technologie moderne, les hôpitaux, les transports et les moyens de communication ne sont plus opérationnels. La population doit réapprendre à vivre... 15 ans plus tard, la vie a repris son cours. Lentement. Sereinement ? Pas vraiment. Aux abords des communautés agricoles qui se sont constituées, le danger rôde. Et la vie d'une jeune femme est bouleversée lorsque la milice locale débarque et tue son père, qui semble être mystérieusement lié au blackout. Ces révélations l'amènent à se mettre en quête de réponses sur le passé, dans l'espoir d'un futur meilleur. 

    Casting : David Lyons, Billy Burk, Giancarlo Esposito...

    ......................

    Critique d'Elodie :

    Je n'étais pas sure de vouloir regarder cette nouvelle série et puis finalement en lisant les critiques en demi-teinte sur twitter, je me suis dis et bien je vais moi aussi tester ce pilot ! Le fait que Eric Kripke en soit le créateur et que JJ Abrams le producteur me donnaient bon espoir puisque je suis fan de Supernatural, de Lost, Fringe etc... et puis finalement si je ne devais résumer ce pilot qu'en un seul mot ce serait : bof. Je ne l'ai pas détesté mais je ne l'ai pas aimé non plus. Il m'est arrivé durant le visionnage de lever les yeux au ciel et de languir qu'il se finisse. On reconnait un peu la patte de JJ Abrams avec les flashback... mais ça serait cool qu'il se renouvelle !

    La scène d'introduction était très bien, elle nous met dans l'ambiance directement, elle est très bien filmée et j'ai été ravie de retrouver Elisabeth Mitchell... Malheureusement ça n'a pas duré, dès qu'on plonge dans l'univers 15 ans après j'ai eu une impression de déjà vu. Je ne sais pas pourquoi j'ai pensé à Terra Nova que je n'ai pas aimé, bien sur avec les dinos en moins. En ce qui concerne les personnages, l'actrice principale est aussi charismatique qu'un tronc d'arbre... son frère c'est pareil bien que sa storyline est l'un des points qui m'a plu. Du côté scénaristique, j'ai trouvé qu'ils allaient un peu trop dans la facilité. Je fait référence à la scène où Charlie retrouve son oncle, elle a eu un pot monstre ! Le premier gars avec qui elle parle c'est son oncle ! Bref... je ne ferais biensur pas mention de la scène de bataille entre la milice et Miles car plus ridicule tu meurs... et je ne ferais pas non plus référence à la romance qui se profile entre Charlie et le jeune homme qui fait parti de la milice (dont j'ai oublié le nom). Franchement où est l'originalité ?

    On comprend bien également que le père de Charlie est impliqué dans cette histoire de Blackout, là aussi on a vu ça 1000 fois dans d'autres films et séries. On ne sait pas où ils veulent en venir et finalement c'est ce qui attise notre curiosité, même si pour ma part ça m'interesse pas spécialement. Autre point bof, le cliff final... si on peux appeler ça un cliff puisque j'ai eu la sensation de voir un copier/coller d'une scène de Jericho. J'ai pas été étonnée, en finissant l'épisode j'ai pas eu envie de me jeter sur la suite et je ne suis pas impatiente de la découvrir.

    Pour conclure, ce pilote me donne l'impression que Revolution est une série parmis tant d'autres, qui ne sort pas du lot, banale et qui n'aura pas une longue vie. Pour me conforter dans cette idée ou pour changer d'avis, je visionnerais la suite mais si elle est dans la lignée de ce pilot ce sera bye bye pour ma part... et qui sait peut-être que je serai surprise, je l'espère en tout cas :)

    Par ms-kitty-fantastico

    ......................

    Critique de Sonia :

    Revolution rentre bien dans le genre dystopique. Un blackout plonge le monde dans le noir total. Plus aucunes formes d’énergies. Tout ce qu'a connu l'homme depuis la dernière décennie disparait. En gros, le monde revient à l'époque de la Petite Maison dans la Prairie, version Hunger Games. Parce que voilà, toutes les organisations politiques sont tombées et on comprend alors qu'une sorte de général Monroe, est dorénavant à la tête de ce qu'il reste des États-Unis. Et qui de mieux que Giancarlo Esposito (Breaking Bad)  pour jouer un capitaine tyrannique, au style parfait. On pourrait mettre du Heart Wind & Fire en fond sonore, à chacune de ses apparitions, ça collerait parfaitement. Mais il n'est pas là pour rigoler, et quand il débarque avec sa bande de samouraï (la  NRA n'existe plus, donc on retourne à l'épée) dans le petit camp de Ben Matheson, ça part plutôt en cacahuète. Et hop, une bonne scène d'action, y a rien de mieux. C'est bien chorégraphier même si mon super œil à remarqué quelque faux raccords, mais on est dedans et pas question de commencer à s'assoupir. Mais voilà, au final, on se retrouve avec un mort et un prisonnier.

    Ben Matheson qui s’avère être le papa de deux grands bambins, retient son dernier souffle. Au début on a appri dans un flash-back (signature de J.J Abrams) que Ben Matheson est mêlé à ce fameux blackout. Il prévient alors sa femme (c'est le moment où je fangirl parce que Elizabeth Mitchell, Lost et rien d'autre) mais aussi son frère, juste avant de refiler une mystérieuse clé-usb à un homme qu'il considère de confiance sur son camp. Tout ça roule très vite, même pas eu de dire que ça tête me disait quelques chose, que hop, il nous quitte. Mais Revolution, donne le ton et c'est une bonne idée. Alors que son père vient tout juste de la quitter, Charlie Matheson part à la recherche d'un oncle-inconnu, en vu de libérer son frére des griffes de Monroe, on découvre ce que le monde est devenu et on a le droit, même si ça sonne bizarre, à des paysages post-apocalypiques magnifiques. Des jolies plans dans la forêt, les cheveux décoiffés, trés LOST, avec un petit souffle à la Hunger Games. On s'attache vite à cette petite Charlie, elle a tout pour devenir une héroïne à la J.J Abrams, elle est jolie, têtue et part tête baisée dans la gueule du loup. Elle est prête à tout pour retrouver son oncle, qu'elle n'a jamais connu, pour sauver son frère et cet air de famille fait du bien. Pas de love-interest à gogo, ça fait du bien. Ici, on a une jolie famille qui peut compter les uns sur les autres, parce que après tout la famille y a que ça de vrai. Mais même si la petite Charlie à peut être l'âge de boire de la bière, il hors de question qu'elle parte toute seule jouer les Indiana Jones. Une amie de son père (ou peut-être plus) qu'elle n'a pas l'air d'apprécier : Maggie, se joint à elle. Une relation plutôt tendue qui montre bien que la petite Charlie n'est pas un petit ange, comme sa jolie frimousse pourrait le croire. Mais le petit groupe de recherche se saisit aussi de l'homme qui a hérite de la clé-usb, un dénommé Aaron. Malgré un physique peu avantageux, il saupoudre tout ça d'humour, ce qui le rend totalement attachant. Une sorte de Hurley de Lost, avec quelques kilos en moins.

    Mais le groupe le moins accordé de la jungle de Chigaco, un beaucoup trop naïf passe par plusieurs mésaventures avant d'atteindre la ville des grands lacs, avec l'aide d'un jeune archer (la belle gueule de la série) qui a sauvé les a sauvé au passage. Et arrivé en ville, le paysage est plus qu’impressionnant ! Une ville-jungle. Le travail artistique est plus que sensationel et dieu merci les plans larges sont là pour apprécier ça. Si certains pourrait penser que tout ça fait trés Terra Nova, je peux vous assurer que c'est un air totalement différent. Et cette ville-jungle de Chicago cache un Billy Burke (24, Twilight) en Miles Matheson, plutôt en forme. L'oncle que cherche désespérément la petite Charlie, vit dans ce qu'il reste d'un hôtel de luxe. Et on a le droit à un personnage très bien écrit. Un ancien soldat de l'armée américaine, plutôt rebelle sur les bords, à la répartie d'enfer et au Kung-Fu visuellement très efficace. Rien à dire sur la prestation de Burke, il gére du gruyére. Il est bien présent à chaque réplique. Au départ réticent face à l'arrivée de sa niéce, il refuse de l'aider. Mais quand il se retrouve attaquer par la milice et qu'elle et son petit groupe se trouve là pour le sauver, il change vite d'avis. Une scène d'action plutôt rapide et efficace, étant donnée le personnage de Miles Matheson. Chacun à son petit moment de gloire et ça c'est plutôt bien pensé.

    Mais voilà, Revolution fait quelques petites fausses notes. On met un peu de coté, Danny Matheson qui se sépare du groupe, dés le début. On apprend juste que c'est un jeune asthmatique, plutôt gueule d'ange qui bénéficie de la pitié d'une femme. M'enfin, c'est peut-être pour lui donner un air plus mystérieux. En parlant de mystère, une grosse déception, énorme déception. Si on a l'habitude avec J.J Abrams d'avoir des mystères à s'en mordre les doigts, ici on nous révèle l'un des plus intéressants, c'est à dire l'identité de Monroe, dés le début. Pourquoi ? Mais POURQUOI ? Heureusement que la présence de la bonne âme charitable qui sauve le petit Danny, qui se retrouve en possession de la même clé-usb que Ben Matheson, redonne espoir. 

    Au final, Revolution repose sur un casting plutôt solide et efficace, qui arrive à soutenir un pitch assez crédible, voir intéressant. La nouvelle série de J.J Abrams sent bon le printemps, des très beaux plans paysages qui témoignent d'un très bon travail artistique, de quoi bien respirer un bon coup. Un pilot solide pour une série dystopique qui tente de faire sa place autour des grands succès de J.J. Hâte d'en voir plus, pour être témoin d'une Revolution, qui fera, je l’espère un peu de bruit.

    Par chroniquesheroiques


    votre commentaire

  • Synopsis Allociné : Une jeune docteur, à la façon Bridget Jones, navigue entre sa vie personnelle et sa vie professionnelle.

    Casting : Mindy Kaling, Ed Weeks, Chris Messina, Anna Camp, Zoe Jarmon, Dana Delorenzo, Ed Helms, Bill Hader, Richard Schiff

    Je dois avouer qu'au début ce petit bout de femme, gynéco le jour et chasseuse de prince-charmant la nuit, ne me disait rien de bien intéressant. Mais voilà, The Mindy Project c'est une comédie portait par une femme typée : Mindy (oui je prône un girl-power télévisuel). A la ramasse question amour, elle veut vivre dans une comédie romantique avec Hugh Grant (enfin qui ne voudrait pas, hein ?) ; aussi gaffeuse professionnelle, on arrive très bien à s'identifier à elle (un peu trop même). De plus, elle a une répartie plutôt d'enfer pour une doc, ça brise vite la glace et on aimerait bien lancer quelques vannes avec elle. Un petit coté anticonformiste quand il s'agit de s'occuper de ses patients, qui fait bien plaisir. (faut bien une dose de doc imparfait maitenant que House a pris sa retraite) Mais voilà, après une mésaventure amoureuse Mindy se remet en question et veut changer : avoir une vie parfaite avec le mec idéal, ce qui n'est pas gagné d'avance. Son coté mélodramaticotimbrée ressurgit sans cesse, c'est fun, mais pour ses résolutions ça colle pas. Aussi maladroite, qu'un enfant avec un vase à la main, elle enchaine gaffe sur gaffe. 

    Si The Mindy Project est menée par une femme bien charismatique, elle s'offre aussi une brochette de personnages secondaires : un doc plutôt belle gueule à l'accent sexy (il en faut toujours un), un doc pseudo-parfait et une best-rich-friend-housewive. Mais The Mindy Project fait quelques faux pas : on jette la voix-off de Mindy -tellement 90s qui donne l'impression de regarder un livre audio pour enfant- ; la garde-robe moulante de Mindy et le pseudo triangle-amoureux à la sex with benefits qui pointe le bout de son nez. Mais on garde quand même la B.O qui a la classe (Bad Girls de M.I.A, on peut pas faire mieux

    Au final, on a une bonne élève, agréable et sympathique, mais qui a quand même besoin de faire ses preuves. On se retrouve au 1er trimestre pour voir à quoi ressemble son premier bulletin.

    Par chroniquesheroiques


    votre commentaire
  •  

    Synopsis Allociné : Irrévérencieux mais néanmoins charmant commentateur sportif, Ryan King tente de surmonter tant bien que mal sa peine après le décès de son épouse. Son patron l'oblige à intégrer un groupe de soutien. Guère habitué à travailler en équipe, celui-ci, plus troublé que jamais, va devoir se surpasser et sortir de sa zone de confort. Trouvera-t-il une aide inattendue auprès des autres membres de la thérapie de groupe ?

    Casting : Matthew Perry, Laura Benanti, Julie White, John Cho, Brett Gelman, etc.

    "Et si Matthew Perry réussissait enfin son « après Friends ?"

    Mesdames et Messieurs, le génial Matthew Perry est de retour. Mais si, vous le connaissez. Souvenez-vous, il incarnait l’hilarant Chandler Bing dans la mythique Friends et lançait à tout va ses « Oh my Goooooooood ! ». Ca vous revient maintenant ? Ah, quand même ! Bien sûr, tout le monde le connait. Et c’est mérité !

    C’est indéniable, l’après Friends a été dur pour la grande majorité des « Friends ». Alors que David Schwimmer se fait très discret, le spin off de la série aux 10 saisons intitulé « Joey », avec bien évidemment Matt LeBlanc, s’est vu annulé après deux saisons seulement. « Dirt », la série dans laquelle Courteney Cox tenait le rôle principal s’est, quant à elle, arrêtée après deux petites saisons. Même scénario pour Lisa Kudrow qui a vu son « Comeback » duré 13 épisodes seulement. Pour finir, Matthew Perry est revenu sur nos écrans en 2006 avec « Studio 60 » qui a aussi malheureusement été stoppée après une saison malgré des critiques élogieuses. 5 ans après, il revient avec « Mr Sunshine ». La encore, c’est l’échec total et la série est annulée par ABC après 13 épisodes.

    Fort heureusement, la roue tourne. Courteney Cox est désormais l’héroïne de l’excellente « Cougar Town » depuis 3 ans. La série, après avoir été annulée il y a quelques mois, a directement été repêchée par TBS. La série aura donc droit à une quatrième saison, voir à une cinquième. Ouf, j’ai eu peur ! Lisa Kudrow est quant à elle aux commandes de « Web Therapy » depuis deux saisons et, pour finir, Matt LeBlanc joue son propre rôle dans la comédie de showtime nommée « Episodes ».

    C’est au tour de Matthew Perry de faire comme ses « Friends » avec sa toute nouvelle série, « Go On ». Du moins, je l’espère fortement. Le pilot a rassemblé plus de 16 millions de téléspectateurs sur NBC grâce à sa diffusion post-Jeux Olympique. C’est excellent, mais tout va se jouer en septembre lors de la diffusion du deuxième épisode. Quoi qu’il en soit, j’en viens enfin au fait : j’ai beaucoup aimé le premier épisode de « Go On ». Matthew Perry est comme à son habitude brillant mais surtout très attachant. Son personnage est à la fois drôle, dynamique et surprenant. Lorsqu’il est entouré de ces gens malheureux, il est au top et les personnages secondaires sont incontestablement très prometteurs. Il va maintenant falloir les développer un peu plus et ne pas laisser toute la lumière à Ryan, juste histoire de ne pas lasser les téléspectateurs. Pour finir, c’était drôle. Oui oui, je vous assure ! J’ai effectivement ri à plusieurs reprises, ce qui ne m’était pas arrivé devant « Mr Sunshine » l’année dernière. Le potentiel comique de cette nouvelle série est donc énorme. J’y crois fortement et je suis certaine qu’NBC également. La case horaire est bonne, la série a tout pour devenir excellente et les téléspectateurs adorent Matthew Perry. Pourquoi ca ne marcherait pas ? Et si c’était enfin LE retour gagnant tant attendu de Mister Perry ? Je croise les doigts. A première vue, cette série ne mérite en tout cas pas le même destin que « Mr Sunshine ». Oh que non !


    votre commentaire
  • Synopsis Allociné : La reconversion d'une danseuse de Las Vegas qui, après s'être mariée à une connaissance lors d'une nuit de folie, devient professeur de danse dans une école tenue par sa nouvelle belle-mère au coeur d'une petite bourgade côtière très calme nommée Paradise...

    Casting : Sutton Foster, Kelly Bishop, Kaitlyn Jenkins, Emma Dumont..

    Amy Sherman-Palladino revient avec un nouveau bébé : bunheads. Etant une immense fan de l’inégalable Gilmore Girls dont elle est également la créatrice – et qui est sans aucun doute l’une de mes séries favorites – je me devais bien évidemment de découvrir la petite nouvelle d’ABC Family. Je ne vais pas y aller par quatre chemins : je suis un peu déçue. D’accord, le premier épisode est tout à fait sympathique. Oui, c’est très prometteur pour la suite. Effectivement, les héros principaux ont tout pour devenir attachants. Et pour finir, c’est très similaire à Gilmore Girls. Certains verront cette dernière caractéristique comme étant une grande qualité tandis que d’autres trouveront quand même que ces fameuses similarités sont malgré tout trop flagrantes pour être appréciées à leur juste valeur. Je fais partie de cette deuxième catégorie qui, bien que contente de retrouver l’humour et les dialogues riches façon Palladino, trouve que la créatrice aurait dû essayer d’innover davantage et non de recycler. Par exemple, impossible de ne pas voir Lorelai en le personnage joué par Sutton Foster. Pareil pour le personnage interprété par Kelly Bishop qui n’est autre qu’Emilie Gilmore dans Gilmore Girls. Pendant 45 minutes, j’ai essayé de faire abstractions. Sans succès. Bunheads n’a donc, selon moi, pas suffisamment réussi à se démarquer. Maintenant, je pense que Palladino est tout à fait capable de rendre son nouveau bébé unique et… différent. Le potentiel est en tout cas véritablement énorme. A surveiller de très près.


    1 commentaire
  • Synopsis Allociné : Les coulisses tendues et survoltées de l'émission "News Night", diffusée sur la chaîne d’information en continue ACN, alors que son présentateur vedette, Will McAvoy, un homme aussi talentueux que détestable, est en pleine controverse suite à des propos tenus en direct remettant en cause le rêve américain. Alors que son équipe a déserté, il se voit attribuer une nouvelle productrice exécutive avec qui il a un passif...

    Casting : Jeff Daniels, John Gallagher Jr, Emily Mortimer, Alison Pill, Olivia Munn, Thomas Sadoski, Dev Patel et Sam Waterson

    Depuis quelques semaines, les sériesphiles parlent énormément de LA nouvelle série de HBO créé par Aaron Sorkin : The Newsroom. Si vous n’avez pas encore vu ce pilot, je vais tenter de vous y convaincre parce que oui, il faut vraiment y jeter un coup d’œil. La série m’en a mis plein à la vue dès la première scène qui reste, selon moi, la meilleure de tout l’épisode et qui me marquera certainement encore pour très longtemps. Les propos du personnage de Will sont très poignants et celui-ci dit clairement tout haut une vérité terriblement dur à entendre pour le peuple américain. C’était du génie ! Le reste de l’épisode se passe en coulisses où nous pouvons découvrir l’équipe de « News Night » plus débordée que jamais. C’était très convainquant car superbement écrit. Par contre, je dois dire que les personnages – excepté le héro – ne m’ont pas laissé forte impression comme je l’avais espéré. J’ai bien sûr envie de revenir pour de nouvelles aventures, mais ce n’est malheureusement pas grâce à eux…

     Quoi qu’il en soit, The Newsroom c’est très bien. C’est le genre de séries qui fascine. C’est le genre de séries qui vous fait vous sentir très intelligent. Qui vous apprend pleins de choses. C’est simplement le genre de séries qu’il nous est (presque) tous possible d’adorer.


    1 commentaire


    Suivre le flux RSS des articles de cette rubrique
    Suivre le flux RSS des commentaires de cette rubrique